En Somalie, les effets du changement climatique
ne cessent de s’aggraver. les enfants en sont les
premières victimes.

En Somalie, les effets du
changement climatique ne cessent
de s’aggraver. les enfants en
sont les premières victimes.

1,8 MILLION

d’enfants devraient souffrir
de malnutrition aiguë en
2023.

1,4 MILLION

de personnes
ont été déplacées.

464 000

déplacés en raison des
conditions climatiques.

Chaque jour, les équipes de l’UNICEF soignent et protègent les enfants des conséquences dramatiques liées à leurs conditions de vie. La malnutrition affecte des milliers d’enfants. Mais des solutions simples existent pour la prévenir ou la soigner : les aliments thérapeutiques prêts à l’emploi..

Chaque jour, les équipes de l’UNICEF
soignent et protègent les enfants des
conséquences dramatiques liées à leurs
conditions de vie. La malnutrition affecte
des milliers d’enfants. Mais des solutions
simples existent pour la prévenir ou la
soigner : les aliments thérapeutiques
prêts à l’emploi.

Les équipes de l’UNICEF sur le terrain

Nous partageons avec vous ce reportage exceptionnel, réalisé par les équipes de Vakita, le média d’Hugo Clément, qui vous permettra de mieux comprendre les conditions de vie d’une population qui subit de plein fouet les effets du changement climatique et les réponses concrètes que nous mettons en place.

Découvrez le reportage de Vakita en Somalie

Découvrez le reportage de Vakita en Somalie

Sahra

La Somalie est affectée par des périodes de plus en plus fréquentes de sécheresse chaque année. Conséquence : les familles d’agriculteurs et de bergers sont forcées de quitter les zones rurales pour trouver des refuges précaires en périphérie des villes. À cela s’ajoute un conflit armé qui rend l’accès aux soins de santé encore plus compliqué.

Sahra nous raconte : « L’eau, c’est la vie, dit-on. Lorsqu’elle devient tout ce dont vous avez besoin pour survivre, il est rare que vous pensiez à autre chose qu’à étancher votre soif. On ne saurait trop insister sur l’importance de l’accès à l’eau potable ». Une fois arrivé au camp de déplacés, le calvaire ne s’arrête pas pour autant. Les femmes et les filles sont celles qui en souffraient le plus. « Pour trouver de l’eau potable, il fallait souvent marcher de longues heures jusqu’à la source d’eau la plus proche, et ce n’était jamais sans danger. Aller chercher de l’eau n’était pas un moment que j’attendais avec impatience ».

L’UNICEF A construit des forages et des réservoirs qui mettent un terme au cauchemar de l’eau dans le camp. « cela a vraiment résolu beaucoup de problèmes, non seulement pour moi, mais aussi pour la communauté d’ici. C’était un grand soulagement », dit Sahra. Mais à l’heure où de nombreuses autres familles sont dans le besoin, nos équipes doivent intensifier leur action, grâce à vous.

Sabirin, 2 ans

La Somalie est affectée par des périodes de plus en plus fréquentes de sécheresse chaque année. Conséquence : les familles d’agriculteurs et de bergers sont forcées de quitter les zones rurales pour trouver des refuges précaires en périphérie des villes. À cela s’ajoute un conflit armé qui rend l’accès aux soins de santé encore plus compliqué.

Sabirin, 2 ans, vit avec sa famille dans une maison de fortune du camp de réfugiés de Gurman. Sa maman témoigne : « La sécheresse a tué tout notre bétail, et nous ne pouvions plus nourrir nos enfants. Nous avons quitté notre maison, nos proches et notre mode de vie parce que nous n’avions plus le choix. Quand nous sommes arrivées au centre de santé, Sabirin ne pesait que 4 kilos. Je l’ai veillée 9 jours sur son lit d’hôpital, j’ai cru la perdre. » Diagnostiquée à temps, Sabirin est sauvée. Mais à l’heure où des milliers d’enfants ont besoin d’un traitement dans la région, nos équipes doivent intensifier leur action, grâce à vous.

Les sachets thérapeutiques prêts à l’emploi n’ont pas besoin d’être dilués, et peuvent être facilement utilisés dans des contextes de sécheresses ou d’inondations.

Kafio Ahmed, 4 mois

La Somalie est affectée par des périodes de plus en plus fréquentes de sécheresse chaque année. Conséquence : les familles d’agriculteurs et de bergers sont forcées de quitter les zones rurales pour trouver des refuges précaires en périphérie des villes. À cela s’ajoute un conflit armé qui rend l’accès aux soins de santé encore plus compliqué.

Kafio Ahmed, 4 mois, est tenue par sa mère, Amina Said, alors qu’elle est vaccinée au centre de santé de Gargaar, à Garowe. Amina Said est mère de quatre enfants. Elle a marché pendant une heure en portant Kafio pour la faire vacciner aujourd’hui, après avoir reçu un message du centre de santé. « Je n’écris pas et je ne lis pas, mais on m’appelle au téléphone pour m’informer des vaccins à faire » , explique-t-elle.

 Les services de santé dispensés au centrE de Gargaar sont essentiels. Vaccination, nutrition, programmes de traitement ambulatoire, soins prénataUX et postnatAUX, ce centre fonctionne grâce aux équipes de L’UNICEF et donc, grâce à vous. 

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75 = 3 ENFANTS SAUVÉS

Soit 189 sachets d'aliments thérapeutiques
pour 3 semaines de traitement
pour 3 enfants en danger.

3 semaines de traitements
permettent de sauver un enfant en danger.

75 % de votre don en faveur de l'UNICEF
sont déductibles de vos impôts,
dans la limite de 1 000 €.

Au-delà de cette limite, le taux de réduction est de 66% dans la limite
de 20 % de votre revenu imposable.

Par exemple, après déduction fiscale,
un don de 75 € vous reviendra en réalité à 18,75 €.

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Nous travaillons en étroite collaboration avec les agents communautaires sur le dépistage et la prise en charge de la malnutrition. Les actions multiples en cours doivent être poursuivies !

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Nous examinons complètement les enfants avant de décider quel traitement leur donner. Ceux auxquels nous diagnostiquons une malnutrition sévère reçoivent des aliments thérapeutiques prêts à l'emploi, et nous les suivons jusqu'à leur complet rétablissement.